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  • Comme les autres

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    Philippe & Emmanuel (Pascal Elbé & Lambert Wilson) sont heureux, ils vivent en couple et se moquent des qu’en dira t’on. Mais Emmanuel souhaite une évolution dans leur relation, ce pédiatre qui adore les enfants se sent désormais prêt à devenir père contrairement à son compagnon qui souhaite encore profiter de sa liberté. Le couple en vient donc à se séparer et Emmanuel cherche désespérément un moyen d’avoir un enfant. Le recours à l’adoption ayant échoué, il se tourne vers une solution moins conventionnelle : trouver une femme qui accepterait de porter son enfant.

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    Un enfant peut-il être réellement élevé par un couple homosexuel ? C’est un véritable débat de société auquel on n’a trouvé pour le moment aucune réponse satisfaisante. Vincent Garenq veut donc bousculer tout ça à travers son premier long métrage Comme les autres avec dans le rôle des futurs parents Lambert Wilson & Pascal Elbé. Témoignage d’une évolution de notre société, le film souligne l’homosexualité comme un frein aberrant au processus d’adoption ; on regrettera que l’ensemble soit un peu trop lisse et n’ait pas la capacité de causer un électrochoc.

    Il faut le voir pour : Trouver le moyen de ne pas répondre aux questions embarrassantes des enfants.

  • Le grand alibi

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    Eliane & Henri (Miou-Miou & Pierre Arditi) avaient convié quelques potes d’enfance à venir passer le week-end dans leur grand propriété. Parmi les invités, Pierre Collier (Lambert Wilson) médecin hautement réputé mais également éternel coureur de jupons qui était venu accompagné de sa femme Claire (Anne Consigny). Sont présents également Philippe (Mathieu Demy), écrivain en panne d’inspiration et alcoolique notoire ; Esther (Valeria Bruni-Tedeschi) la dernière maitresse de Pierre et enfin Marthe & Chloé (Céline Salette & Agathe Bonitzer). Le séjour s’annonçait agréable mais pour l’un d’entre eux c’est la mort qui l’attend.

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    Adapté du roman d’Agatha Christie intitulé Le Vallon, Le grand alibi est le thriller auquel on pouvait s’attendre c’est-à-dire un film où l’on s’est contenté du strict minimum. Présentation des personnages, une petite réunion dans une grande maison, un crime et plusieurs suspects avec chacun d’éventuelles motivations pour commettre le délit. Par rapport à L’heure zéro, autre adaptation des œuvres d’Agatha Christie, les personnages sont moins excentriques et donc on accroche moins à l’histoire. Rien de bien enthousiasmant donc si ce n’est de vous triturer la tête pour deviner l’identité du ou des coupable(s).

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de laisser trainer vos pistolets

  • Dante 01

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    Au fin fonds de l’espace se dresse cet immense bâtiment, un centre de détention où sont retenus des criminels souffrant de pathologie mentale. Non loin de là, une planète hostile appelée Dante mais également connue pour être l’antichambre de l’enfer. Le docteur Elisa (Linh Dan Pham) vient d’arriver sur ce vaisseau en compagnie d’un nouveau patient bien étrange que l’on a surnommé Saint-Georges (Lambert Wilson). Elle est venue dans un seul but, expérimenter son nouveau programme à base de nanotechnologie et pour cela ; les prisonniers se révèlent être de merveilleux cobayes. On découvre que Saint-Georges n’est vraiment pas un homme ordinaire.

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    Première réalisation pour Marc Caro, un nom qui ne vous dit surement pourtant, ce jeune homme a collaboré avec Jean-Pierre Jeunet sur des œuvres comme Delicatessen & La cité des enfants perdus. S’engouffrant dans le domaine de la science-fiction où le cinéma français peine à trouver sa place ; Dante 01 nous propulse et nous largue dans l’espace avec une histoire complexe où Saint-Georges serait nul autre que le messie. Sur quelques passages, la réalisation se permet une certaine folie mais dans l’ensemble ; il faut dire qu’il n’y a rien de vraiment révolutionnaire sur la forme. Le film peine à nous accrocher malgré des gueules du cinéma comme Dominique Pinon, François Levantal ou encore les beaux yeux de Linh Dan Pham.

     

    Il faut le voir pour : Croire encore à la mode Barthez.